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Enigme 470

470

CE N'EST LE BON CHEMIN
QUE SI LA FLECHE VISE LE COEUR

 

Mon Premier par la gaîté se multiplie.

Mon Second t’offre de l’espace,

Mon Troisième de l’air, et mon Quatrième de l’eau

Quand il est couché, mon Cinquième ronfle.

Mon Sixième vaut cent, et mon Septième n’est qu’un nœud.

Mon Huitième a le goût du laurier,

Tandis que mon Neuvième, par l’étonnement, se traine.

Mon Dixième est toujours nu quand il a une liaison.

Mon Onzième, enfin, est l’inconnue.

 

Trouve mon tout, et par l’Ouverture, tu verras la lumière.

Etude du visuel de la 470

Nous sommes dans une zone montagneuse. Des éléments blancs expriment un mouvement vers la gauche et forment derrière eux ce qui pourrait ressembler à un sapin.

Un rocher ayant une forme humaine allongée au sol a une épée médiévale enfoncée dans ce qui pourrait être la tête.

 

Etude du texte de la 470

De nouveau, il s’agit d’une charade avec onze lignes. Si le jeu est cohérent, et il l’est, il nous faudra donc onze solutions.

Toutefois, comme il est indiqué : “Mon Onzième, enfin, est l’inconnue.” on se contentera de la dizaine.

Une fois encore :

  • la charade ne donne pas de syllabes mais plutôt des lettres.
  • les mots employés ont plusieurs sémantiques ou références et permettent différentes interprétations.
  • Certaines lignes ont des doubles définitions.
Enfin, on retrouve “Mon tout” dans cette charade. Si l’on combine les deux phrases “pour trouver mon tout, il suffit d’être sage” et “trouve mon tout et par l’ouverture tu verras la lumière” , on peut lire “sois sage et par l’ouverture tu verras la lumière”.

 

Regardons ligne à ligne ce que cela donne :

Mon Premier par la gaieté se multiplie

Toutes les voyelles sont des onomatopées du rire et tout particulièrement les “A”, “I” et “O” .

Mon Second t'offre de l'espace

Le “O” bien gros et bien rond peut répondre à la définition.

Le “vide” est aussi une solution.

Les mathématiques offrent aussi quelques réponses.

Mon Troisième de l'air et mon Quatrième de l'eau

Mon Troisième de l’air : “R” est la solution la plus évidente. Le “A” (azote) ou le “O” (oxygène) sont acceptables.

Mon Quatrième de l’eau : “O” est dans la lignée du R précédent. On peut penser aussi au “G” avec le jet d’eau.

On remarquera aussi que c’est une ligne double et que donc l’association des deux porte un sens particulier.

Quand il est couché, mon Cinquième ronfle.

On pense au “N” qui donne un “Z” quand il est couché. On peut aussi ronfler les “R”.

Mon Sixième vaut cent, et mon Septième n'est qu'un nœud.

“C” vaut effectivement cent en notation romaine, “H” (Hecto) est aussi un candidat.

Mon septième n’est qu’un noeud donnera “E” mais on peut aussi penser au “L”.

On remarque que c’est une ligne a double définition.

Mon Huitième a le goût du laurier,

Le “V” de la victoire est possible.

On peut penser aussi au “A” qui est le premier voire le “B” dans notre jeu qui est la première énigme.

Tandis que mon Neuvième, par l'étonnement, se traîne.

Le “A” de la surprise…pourquoi pas.

En fait, cette définition est tellement indigeste si elle ne donne que le “A” qu’elle aurait dû réveiller tous les chercheurs.

En effet, si cette ligne ne donne que A, ce jeu est médiocre. Il y a mille façons plus élégantes de faire un “A”.

Donc, elle donne aussi autre chose et en conséquence il y a plusieurs solutions. 

S’il y a plusieurs solutions dans cette charade, pourquoi n’y en aurait-il pas plusieurs en 530 également ?

Mon Dixième est toujours nu quand il a une liaison

Le “U” est une solution. On peut aussi penser au “Q”…

Mon Onzième, enfin, est l'inconnue.

Il est clair que le “X” tient la corde. On peut penser aussi au “Z”, …même si nous, on sait tous que c’est Don Diégo de la Véga.

Comment décrypter une énigme Maxienne ?

Comme vous allez le constater, les interprétations du texte peuvent être multiples.

Pour nous aider, je le rappelle, Max a créé un jeu qui s’autovalide. La solution que l’on obtient doit se trouver confortée par les éléments du texte et du dessin.

Lorsque ce n’est pas le cas et/ou que la solution est plus complexe, Max a ajouté les IS pour nous rassurer.

La cohérence étant un des principes fondateur de ce jeu, les IS sont construites de la même manière que les énigmes et ont plusieurs lectures.

La première lecture conforte les chasseurs dans la solution simpliste. Mais, elle conforte aussi les chasseurs qui sont passés de l’autre côté du miroir sur les solutions plus construites.

Comme indiqué dans le préambule, il reste quelques zones imprécises/de doute que j’ai mis en italique/souligné mais qui ne remettent pas en cause la solution finale. 

Solutions n°1 et n°2 respectant les madits : A RONCEVAUX

Mon Premier par la gaîté se multiplie

Mon Second t’offre de l’espace,

Mon Troisième de l’air, et mon Quatrième de l’eau.

Quand il est couché, mon Cinquième ronfle.

Mon Sixième vaut cent, et mon Septième n’est qu’un nœud.

Mon Huitième a le goût du laurier,

Tandis que mon Neuvième, par l’étonnement, se traine.

Mon Dixième est toujours nu quand il a une liaison.

Mon Onzième, enfin, est l’inconnue.

Trouve mon tout, et par l’Ouverture, tu verras la lumière.

A

‘vide’

RO

N

CE

V

A

U

X

Le rire multiplie les “HA HA HA”

‘vide’ t’offre de l’espace

R et O sont les solutions les plus évidentes

Le N donne Z allongé et Zzzz est signe de ronflement dans les BD

C vaut 100 en chiffre romain et E n’est qu’un nœud

 Le V de la victoire

Le Ah…! exprime la surprise 

Nu reste toujours invariable dans un mot composé. Les autres aussi a priori.

Un peu de Mathématiques

Cette solution est celle du premier niveau et on la trouve assez rapidement.

Par contre, elle est souvent mal interprétée. Elle ne donne pas une solution mais elle en donne deux.

Roncevaux correspond bien au lieu où l’arrière garde de Charlemagne a été attaquée et où Roland, mourant, a essayé de casser son épée Durandal pour que les ennemis ne puissent la récupérer.

Le “A”, lui, correspond à Conques où le même Charlemagne a donné cette note à l’abbatiale. Ce A aurait été délicat à trouver si nous n’étions pas déjà passés à Conques dans l’énigme précédente.

Le pèlerin fait donc Tours-Conques-Roncevaux et reprend ainsi la route de Compostelle. La via turonensis ne passe pas par Conques. C’est la route du Puy qui y passe; la via podiensis.

Avant d'aborder la suite

Nous l’avons déjà évoqué, il faut s’attendre à avoir 10 solutions à cette charade.

Nous avons aussi évoqué les principes du jeu et notamment cohérence et enrichissement. C’est à dire que les principes utilisés dans une énigme sont réputés acquis pour le reste du jeu.

Ainsi, dans l’énigme B, nous avons compris que lorsqu’il y a 10 éléments, l’ordre n’est pas forcément le bon et nous devons les remettre en ordre.

Il en est ainsi de cette charade, nous avons 10 lignes à remettre éventuellement en ordre. En tout cas , nous sommes licites à le faire.

Solution n°3 : ROCAMADOUR

Mon Premier par la gaîté se multiplie

Mon Second t’offre de l’espace,

Mon Troisième de l’air, et mon Quatrième de l’eau.

Quand il est couché, mon Cinquième ronfle.

Mon Sixième vaut cent, et mon Septième n’est qu’un nœud.

Mon Huitième a le goût du laurier,

Tandis que mon Neuvième, par l’étonnement, se traine.

Mon Dixième est toujours nu quand il a une liaison.

Mon Onzième, enfin, est l’inconnue.

Trouve mon tout, et par l’Ouverture, tu verras la lumière.

O

D

RO

R

CM

A

A

U

Le “Ho” du rire

D (musical) est le créateur de l’univers

R(air) s’inspire et O(eau)

le R ronfle dans les BD

C(cent romain) et  M (Mille romain) un noeud est aussi un Mille marin noté “M” 

Première lettre de l’alphabet

Le Ah…! exprime la surprise 

Nu reste invariable dans un mot composé. Idem pour les autres mots en U

On ne le prend pas en compte

  

 

Max nous gâte, car après Conques, il nous entraîne à Rocamadour qui est aussi le plus joli village de France.

Une épée est fichée dans le rocher à quelques mètres de hauteur. Selon la légende, cette épée est celle de Roland. (autovalidation du visuel)

Solution n°4 : GAVARNIE

Mon Premier par la gaîté se multiplie

Mon Second t’offre de l’espace,

Mon Troisième de l’air, et mon Quatrième de l’eau.

Quand il est couché, mon Cinquième ronfle.

Mon Sixième vaut cent, et mon Septième n’est qu’un nœud.

Mon Huitième a le goût du laurier,

Tandis que mon Neuvième, par l’étonnement, se traine.

Mon Dixième est toujours nu quand il a une liaison.

Mon Onzième, enfin, est l’inconnue.

Trouve mon tout, et par l’Ouverture, tu verras la lumière.

A

‘  ‘

‘  ‘G

R

I E

V

A

N

Le rire multiplie les “A”

Le ‘  ‘ t’offre de l’espace

Le ‘  ‘ t’offre de l’air et G (jet)

 le R ronfle dans les BD

I (= 1 en romain) vaut cent (voir plus bas la brebis égarée) et E n’est qu’un nœud  

Le V de la victoire

Le Ah…! exprime la surprise 

L’aine est nue quand on a une liaison

On ne la prend pas en compte

  

 

La brèche de Roland !

Avant d’envoyer son épée à quelques centaines de kilomètres, cette même légende raconte que préalablement, Roland a essayé de briser Durandal contre un rocher.

Il n’a fait qu’ouvrir une brèche dans la montagne. Pour ceux qui sont grimpés là-bas, costaud le Roland.

Solution n° 5 : MONTPELLIER

L’approche est maintenant un peu différente.

Nous avons vu que “mon Premier par la gaieté se multiplie” donne une réponse à elle seule : A = Conques.

Rien ne nous empêche donc de trouver des réponses qui n’utilisent pas intégralement la charade. Par ailleurs, nous savons aussi que les lignes à double définition portent un sens.

Ainsi :”mon Troisième de l’air, et mon Quatrième de l’eau” donne RO (dans la solution de 1ère lecture).

On voit donc que “Air-Eau” donne “R-O” et donc donne “Hérault” surtout quand on sait que le département est le 34.

Pourquoi Montpellier alors ? Parce que c’est indiqué dans le titre : “Ce n’est le bon chemin que si la flèche vise la préfecture“.

Mon Premier par la gaîté se multiplie

Mon Second t’offre de l’espace,

Mon Troisième de l’air, et mon Quatrième de l’eau.

Quand il est couché, mon Cinquième ronfle.

Mon Sixième vaut cent, et mon Septième n’est qu’un nœud.

Mon Huitième a le goût du laurier,

Tandis que mon Neuvième, par l’étonnement, se traine.

Mon Dixième est toujours nu quand il a une liaison.

Mon Onzième, enfin, est l’inconnue.

Trouve mon tout, et par l’Ouverture, tu verras la lumière.

 

 

RO

 

 

 

 

Air-Eau / R-O / Herault

 

Solution n° 6 : TOULOUSE

La méthode est la même que pour la solution 5. Nous avons de nouveau une ligne a double définition.

Mon Sixième vaut cent, et mon Septième n’est qu’un noeud

Comme le jeu est cohérent, on peut assez facilement imaginer que nous cherchons de nouveau un département.

Mon 7éme n’est qu’un nœud , ok , on continue dans le phonétique donc “NE”. On cherche donc un département finissant par NE.

Il y en a beaucoup : Marne , Yonne, Vienne, Orne, etc…

Mon 6éme vaut 100, cela veut dire que la somme des lettres précédent le NE doit être égale à 100.

Pour sommer les lettres, il faut utiliser le principe que nous n’aurons officiellement que dans l’énigme suivante A=0, B=1, C=2, etc…

Ce n’est pas un réel souci en fait car d’une part rien ne m’oblige à démarrer en A=1 et surtout la première énigme est la B (pas la A).

Sur ces bases, un seul département obtient la bonne somme (100) : la HAUTE GARON ne. De la même manière, nous retenons la préfecture : TOULOUSE.

Donc, cela veut dire que CE (mon 6éme et mon 7éme de première lecture) correspond à la Haute-Garonne.

Nous comprenons mieux maintenant notre solution de la 1ère charade grâce à l’IS : “reste simple en 530, car ce n’est qu’un lieu pour démarrer le jeu“.

FRONTON est un lieu pour démarrer le jeu de paume et FRONTON est situé en Haute-Garonne.(cqfd).

Mon Premier par la gaîté se multiplie

Mon Second t’offre de l’espace,

Mon Troisième de l’air, et mon Quatrième de l’eau.

Quand il est couché, mon Cinquième ronfle.

Mon Sixième vaut cent, et mon Septième n’est qu’un nœud.

Mon Huitième a le goût du laurier,

Tandis que mon Neuvième, par l’étonnement, se traine.

Mon Dixième est toujours nu quand il a une liaison.

Mon Onzième, enfin, est l’inconnue.

Trouve mon tout, et par l’Ouverture, tu verras la lumière.

 

 

 

 

CE

 

 

 

 

HAUTE-GARONNE

 

Solution n° 7 : LA SALVETAT

Mon Premier par la gaîté se multiplie

Mon Second t’offre de l’espace,

Mon Troisième de l’air, et mon Quatrième de l’eau.

Quand il est couché, mon Cinquième ronfle.

Mon Sixième vaut cent, et mon Septième n’est qu’un nœud.

Mon Huitième a le goût du laurier,

Tandis que mon Neuvième, par l’étonnement, se traine.

Mon Dixième est toujours nu quand il a une liaison.

Mon Onzième, enfin, est l’inconnue.

Trouve mon tout, et par l’Ouverture, tu verras la lumière.

Sur cette solution, j’ai eu une idée. En fait, dans ce jeu, il faut en avoir beaucoup. Certaines dont vous êtes pourtant très fier vous emmènent dans le mur et d’autres vous ouvrent les portes du royaume Maxien.

Je me suis dit, j’ai Montpellier, j’ai Toulouse. J’ai une ligne entre les deux et le titre de l’énigme me demande de viser le milieu. 

Le milieu nous conduit à la Salvetat. La Salvetat est une ville d’eau.

Bon, dis comme cela, ce n’est pas suffisant. Mais on en reparle un peu plus loin.

Solution n° 8 : CLERY

Cette charade nous a déjà donné plusieurs solutions avec le même texte. C’est déjà impressionnant mais ce n’est rien en fait. Maintenant, il est temps d’entrer dans le monde merveilleux de Max.

Comme je l’ai déjà indiqué, les IS sont là pour nous aider, pour guider notre réflexion.

Parmi les IS, nous en avons plusieurs concernant les Louis, rois de France :

  • Marie-Thérèse y gagna un Louis précieux, mais n’y aurait jamais trouvé un oiseau d’or !
    Il s’agit du mariage de Louis XIV avec l’infante d’Espagne. Tiens ! Il y a un “Mais” dans l’IS ! Ca tombe bien, nous sommes à FontARabie dans le phrase d’avant.
  • Ça s’est passé en l’an 778
    Nous sommes de nouveau dans le cadre des lectures multiples des IS.
    Effectivement, la bataille de Roncevaux a eu lieu cette année mais il y a eu aussi un autre événement en 778 : la naissance de Louis Ier le pieux. 

Alors, nous allons étudier cette charade au travers des Louis…rois de France.

Remarquons aussi que la façon de présenter cette IS n’est pas sans rappeler la fleur de Lys des rois de France.

Mon Premier par la gaîté se multiplie

Mon Second t’offre de l’espace,

Mon Troisième de l’air, et mon Quatrième de l’eau.

Quand il est couché, mon Cinquième ronfle.

Mon Sixième vaut cent, et mon Septième n’est qu’un nœud.

Mon Huitième a le goût du laurier,

Tandis que mon Neuvième, par l’étonnement, se traine.

Mon Dixième est toujours nu quand il a une liaison.

Mon Onzième, enfin, est l’inconnue.

Trouve mon tout, et par l’Ouverture, tu verras la lumière.

Louis 1er a eu de nombreux enfants et avec plusieurs femmes.

Il semble que Louis II offrait effectivement des territoires.

Une chanson a été créée pour Louis III après sa victoire et Louis 4 est d’outremer(*) (on a l’eau).

Louis V est le fainéant.

La somme des lettres de Louis VI fait 100 (Max est trop fort), Louis VII est jeuNE

Louis VIII est le lion

Il s’agit de Saint Louis. “Louis” est après le surnom. Ce n’est pas Louis IX le Saint.

Cette définition passe partout y compris pour Louis X

Louis XI est donc l’inconnu que l’on cherche et son tombeau est dans la crypte de l’église de Cléry sur Loire

(*) outremer est un terme utilisé dans l’intro du livre comme par hasard.

Solution n° 9 : SAINT PAUL

La solution des rois est magnifique mais elle était insuffisante pour Max. Il en fallait une autre. Voyons voir …

Dans l’énigme B, on peut imaginer que le personnage du visuel est celui qui prononce le titre de cette même énigme à savoir : Jésus.

Dans l’énigme 530, le Coq qui chante nous rappelle Saint Pierre et son reniement.

Dans l’énigme 780, Saint Jacques est une évidence avec le pèlerin.

Nous arrivons maintenant en 470. Ils étaient treize à table. Nous en avons déjà vu 3. Le onzième est effectivement l’inconnu.

Il s’agit de Saint Paul, le 13éme apôtre de Jésus.

Nous ne serons pas surpris (autovalidation toujours) que l’attribut de St Paul soit l’épée car il est mort décapité, un peu comme sur le visuel.

Par contre, plusieurs villes s’appellent ainsi. Il restera à définir laquelle est la bonne.

Après recherche, je pense avoir réussi à affecter les apôtres aux bonnes définitions.

Mon Premier par la gaîté se multiplie

Mon Second t’offre de l’espace,

Mon Troisième de l’air, et mon Quatrième de l’eau.

Quand il est couché, mon Cinquième ronfle.

Mon Sixième vaut cent, et mon Septième n’est qu’un nœud.

Mon Huitième a le goût du laurier,

Tandis que mon Neuvième, par l’étonnement, se traine.

Mon Dixième est toujours nu quand il a une liaison.

Mon Onzième, enfin, est l’inconnue.

Trouve mon tout, et par l’Ouverture, tu verras la lumière.

Philippe (la multiplication des pains)

Jude le Zélote cherche à repousser les romains

Matthieu est l’homme ailé ,  Simon est de Cana où l’eau se transforme en vin     

Jean s’endort (Pierre et Jacques ont déjà été cités)

Judas (la brebis égarée qui en vaut 100) , Jacques le miNEur

André : le premier appelé

Thomas : celui qui doute

Barthelemy est nu quand il a une lésion (il a été écorché vif)

Paul de Tarse

Solution n° 10 : MONTLUCON

Il s’agit de la ville que nous avions en sortie de l’énigme précédente et dont nous n’avons rien fait pour l’heure.

Solutions Complètes

En fait, avec ces 10 points, nous n’avons pas encore terminé notre travail sur cette énigme car nous avons simplement trouvé mon tout : Trouve mon tout et par l’ouverture, tu verras la lumière

Maintenant, il convient de trouver la lumière par l’ouverture.

Max nous indique que nous allons de nouveau procéder à un déplacement vertical (ou à peu près) de 470 km.

A 470 km de chacune des 10 villes trouvées, nous devons voir la lumière.

Max nous aide un peu car il nous indique aussi que “ce n’est le bon chemin que si la flèche vise le cœur“.

Nous devrons donc trouver un cœur sur chacune de ces 10 lignes.

 

Concernant Saint Paul ; il y a plusieurs villes qui portent ce nom : de Vence, sur Ubaye, 3 Châteaux, etc…

Si l’on part du principe que Max doit nous aider dans ce dilemme, on peut penser que l’angle de l’épée a une utilité. Si l’on remonte de 470 km sur cet axe à partir de St Paul 3 châteaux, on passe à Paray le monial, la cité du Sacré-Cœur et on poursuit jusqu’à un autre cœur, celui de la centrale nucléaire de Nogent sur Seine. On a alors toute la lumière souhaitée. On notera qu’il y a aussi une centrale nucléaire au départ , c’est à dire à St Paul 3 châteaux.

Conques

Roncevaux

Rocamadour

Gavarnie

Montpellier

Toulouse

La Salvetat

Cléry sur loire

Saint Paul 3 châteaux

Montluçon

Bourges (centre de la France)

Blaye (Roland de Roncevaux)

Saint Valentin

Fontevraud L’abbaye (Richard y est enterré)

Le Puy en Velay (chemin de Compostelle)

Chalus (Richard est mort d’une flèche)

Vézelay (chemin de Compostelle)

Toulouse

Paray le Monial

Bourges (centre de la France)

Paris ville lumière

Fontevraud l’Abbaye (Lumière divine)

Auvers sur oise et le travail de la lumière comme pour Michel dans l’intro du livre.

Loudun. Associé au dieu celte de la lumière : Lug.

Tonnerre

Le Grand Lucé – cité des lumières

Chablis – On passe de l’eau au vin – ça c’est de la lumière

Toulouse (La Haute Garonne n’est le bon chemin que si on vise la préfecture)

Nogent sur Seine

Paris Plage – ville lumière

Solution finale

Nous avons donc nos 10 points définitifs.

Nous procédons de la même manière pour obtenir le barycentre. Ce calcul nous conduit dans la partie Sud d’ ORLEANS.

Une nouvelle fois, le jeu s’autovalide car chacun sait que Notre Jeanne D’arc nationale a pris une flèche à l’épaule lors de ce siège (pas le bon chemin) par contre sa foi visera en plein cœur les anglais qui partiront d’Orléans.

Ce jeu ressemble à une journée qui avance et dans laquelle nous voyons défiler une partie de l’histoire de France.